lundi 23 novembre 2015

Une image, des mots

© Julien Ribot

Que ne pourrais-je décrire les bas fonds de la capitale,
les risques en se promenant de nuit dans ce monde infernal ?
Faut-il avoir peur en tout temps des lieux sombres ou clairs ?

Autrefois étaient craints les bandits de grands chemins,
Aujourd'hui les infâmes terroristes barbares et inhumains.
N'existe-t-il donc plus d'endroits calmes quelque part
pour vivre en paix loin des armes et des remparts ?

Pouvoir se promener main dans la main
en dévalant les escaliers vers les quais,
ne pas craindre la vue du moindre passant
et s'asseoir sur un banc à la lueur des réverbères.
Hélas, c'est un lointain passé, c'était HIER...

Violette dame mauve le 23 novembre 2015

10 commentaires:

  1. coucou Violette-
    tu connais bien cette ville, belle participation-
    bisous à cet apem !

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    1. J'ai juste laissé mon imagination courir en regardant la photo,
      Bisous

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  2. Bonsoir,

    Une belle participation et les bouquinistes ayants fermés les casiers, les amoureux peuvent passés comme des ombres sur les quais.
    Bonne soirée
    Bises

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    1. C'est vrai. Un peu d'imagination et un poème nait...
      Bisous

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  3. Ton poème dit combien tout peut basculer très vite.

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  4. Texte court mais percutant.
    Il contient les questions que tout le monde se pose...
    J'espère pouvoir très vite ne plus avoir à les poser.

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    1. Je crois que nous espérons tous ne plus avoir à nous poser ce genre de question.

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  5. ce tps doit revenir il ne faut pas montrer nos peurs et tjs aller de l'avant

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    1. Il faudrait ne plus avoir peur. Hélas ce n'est pas pour demain...

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