Pour la septuagénaire, nuit de cauchemars,
Dans son cerveau c'était un peu le bazar.
Souvenirs douloureux venait en hallebarde
Se garer dans la mémoire en sauvegarde.
Elle s'entretenait avec un fantôme
Et cette vision mettait du baume
sur son coeur blessé, sa tristesse
Et finissait par atténuer sa détresse
Elle sentait comme d'antan sa présence
qui l'enveloppait de sa bienveillance
Elle se souvient de leur connivence
Face aux mauvaises influences.
Passent les mois, les années
Mais elle ne pourra jamais oublier
Combien ce père elle a aimé!
V WR le 19 janvier 2019
pas facile- tu es comme ma sœur très sensible-
RépondreSupprimermoi j'y pense avec des souvenirs mais sans plus-
bises-
Je n'ai jamais assumé la mort de mon père. Je crois que c'est définitif.
SupprimerBisous