Un an déjà que tu vis ailleurs
Délivrée de toutes tes douleurs
Je me souviens de nos fou-rires
Quand du restaurant nous sortions
Un peu beurettes et que nous dansions
sur le trottoir, et que nous délirions
au bord de la mer, oubliant nos meaux.
Je regarde également tes photos et ton sourire.
Nos joutes oratoires étaient cycliques
quand une phrase écrite ne te convenait pas
Mais notre différent ne durait qu'un moment
Et n'ébranlait pas notre amitié.
Tu me manques, tu nous manques
Repose en paix Lydie mon amie.