Un matin de vingt-trois novembre
Une amie très chère nous a quittée
Au travers des journées sombres
Une reconstruction sans sa présence
Est à entreprendre et à assumer
J'ai tellement de cette douleur, parlé
Que mon cerveau est vide de mots.
D'ailleurs que dire ? Juste accepter
Ce terrible et horrible inévitable
Auquel chacun un jour sera confronté.
Violette W-Ruer le 29 novembre 2019
je ressens moi aussi ce vide ,l'esprit revient toujours en arrière même si on sait que la vie ,la nôtre ,continue ,elle n'est plus pareille !
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