Le 7 novembre
1913, il y avait 100 ans que naissait Albert
Camus à Mondovi (Dréan), dans le département de Constantine en Algérie.
Son père, ouvrier caviste, est mort
d’une blessure reçue lors de la bataille de la Marne en 1914
Sa mère, illettrée, forcée de
s’installée à Alger, fait des ménages pour le nourrir ainsi que son frère.
Il entre au lycée Bugeaud à Alger en
1924, en ressort six ans plus tard nanti de son baccalauréat et s’inscrit en
Khâgne.
A cette époque il contracte la tuberculose,
maladie qui l’empêchera d’obtenir son agrégation de philosophie et l’obligera à
renoncer à l’enseignement.
1937 : publication
de son premier essai « L’envers et l’Endroit » contenant des thèmes
qu’il développera tout au long de sa carrière, tels que le soleil, la solitude
et l’absurde destin des hommes.
Lors de la déclaration de guerre de
1939/45, il quitte l’Algérie et se rend à Paris où il rejoint la Résistance et
il publie trois œuvres majeures : « Caligula », « Le Mythe
de Sisyphe » et « l’Etranger »
.
A la libération, devenu rédacteur en
chef du journal « Combat », il participe aux débats de l’époque comme
la bombe atomique, les révoltes coloniales.
1947 : publication
de « La Peste » qui rencontre un réel succès.
1949 : « Les
Justes »
1951 :
« L’Hommes révolté » suscite une violent polémique et il sera souvent
attaqué surtout par Jean-Paul Sartre.
1956 : « La
Chute ». Un an plus tard c’est la consécration : il reçoit le prix
Nobel de littérature. Il commence un nouveau roman « Le Premier
Homme » qui restera inachevé car le 4 janvier 1960, Albert Camus décède
lors d’un accident de voiture.
Dame mauve le 12 janvier 2014
Un grand auteur qui a marqué la littérature française du XX° siècle. Merci pour ce rappel culturel.
RépondreSupprimerGros bisous à vous deux.
Merci de ton passage et d'apprécier cet article.
Supprimergros bisous à vous deux